Oeuvres diverses

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« Convention nationale. Ses remerciements à tous les « braves sans-culottes qui ont pris sa défense, et les « bons avis qu'il leur donne pour défendre leur liberté « et raser les nouvelles Bastilles que l’on veut élever « pour y renfermer tous les Jacobins et les défenseurs « de la sans-culotterie. »

« La grande douleur du Père Duchesne au sujet de « Marat, assassiné à coups de couteau par une g.... du « Calvados, dont l’évêque Fauchet était le directeur. « Les bons avis aux braves sans-culottes, pour qu'ils « se tiennent sans cesse sur leurs gardes, attendu qu'il « y a dans Paris plusieurs milliers de tondus de la « Vendée qui ont la patte graissée pour égorger tous « les bons citoyens. »

Et enfin la plus grande de toutes les joies du Père Duchesne à la mort de cette reine objet de sa haine implacable, et qui, pour lui, incarnait tous les crimes et tous les vices des monarchies.

Surtout Hébert ne peut supporter l’effusion de ce pur sang des volontaires qui :

« Sans habits, sans souliers, couverts de vermine, « la boue jusqu'à la ceinture, couraient en chantant à « Ja mort. »

Une défaite le plonge dans une sorte de frénésie. Il ne croit pas qu’on puisse battre les armées de la République sans l’aide de la trahison, et, comme à Carthage autrefois, réclame à grands cris le jugement des généaux vaincus.

Heureusement les succès remportés sur toute la ligne font trêve à ces pensées de désespoir :

« Victoire! victoire ! » crie le vieux marchand de « fourneaux. « Aristocrates, que vous allez rager ! « Sans-culottes, réjouissez-vous, chantez, buvez à la « santé de nos braves guerriers et de la Convention. « Nos ennemis sont à quia. Toulon est repris. »

« Je suis d’une telle joie, » dit-il ailleurs, « je suis