Trois amies de Chateaubriand

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200 TROIS AMIES DE CHATEAUBRIAND

. Duras, qui était... où? à Dieppe : « Dites à la mer toutes | : mes tendres pour elle. Dites-lui que je suis né au bruit : de ses flots, qu’ ’elle a vu mes premiers jeux, nourri mes premières passions ct mes premiers orages, que je l’aimerai jusqu'à mon dernier soupir et que je la prie de vous faire entendre quelques-unes de ses tempêtes d’automne. »

I (Page 191).

Je ne puis entrer, ici, dans le détail d’une discussion difficile, à ce propos; et je traiterai ailleurs cette question qui n’est pas commode. J’indique seulement mes conclusions, lesquelles démentent les récits de Frénilly et de Marmont.

J (Page 244).

Il n’est pas question de lui dans Les Enchantements de Prudence. Est-il question d’'Hortense, dans la correspondance de Stendhal? Consultons l'index du recueil qu'ont publié MM. Paupe et Cheramy (Paris, 1908) : nous n’y trouvons ni Hortense, ni Méritens, ni Saman, ni aucun des noms sous lesquels cette dame nous est famibière. Mais il est question des Allart dans une lettre que _ Beyle adressa, le 14 janvier 1815, à sa sœur Pauline. Ces Allart sont- 1 les parents d'Hortenser. Je ne sais. Gabriel Allart n’est mort qu’en 1817; en 1815, Hortense avait quatorze ans.

Et il est question d’Hortense elle-même, — c’est M. Bonnefon qui nous l’apprend, — dans une lettre de Stendhal à Alphonse Gonsolin, 17 janvier 1828. Qu’étaitce que ce Gonsolin? Question difficile et qui n’a point ici