Étude des ferments des glucosides et des hydrates de carbonne chez les mollusques et chez les crustacés

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20 p. 100 de lactose se traduirait par l'augmentation de moins d’un centimètre cube de la quantité de permanganate, ce qui est trop près des limites des erreurs inévitables. Brachin à montré qu’en employant la méthode d'Allihn, un dédoublement de 10 p. 100 de lactose à 1 gr. p. 100 se traduit à la pesée par une différence de 10% de cuivre réduit, ce qui a à peu près la même valeur que par la méthode de Mohr-Bertrand. Les résultats positifs, qu’on obtient par l’une des deux méthodes que nous venons d'examiner, ont une valeur incontestable lorsqu'on peut les vérifier par la méthode des osazones qui est principalement une méthode qualitative. Elle repose sur ce fait, que le lactose chauflé avec de la phénylhydrazine acétique donne une osazone complètement soluble dans l'eau chaude, tandis que le glucose et le galactose donnent une osazone presque complètement insoluble. Cependant, d'après Bierry et Brachin, qui ont étudié la précision de cette méthode, il n'est pas possible d'isoler l’osazone insoluble à chaud dans le cas où le lactose n’a pas subi une hydrolyse au moins d'environ 20 p. 100. La raison en est que les osazones du glucose et du galactose sont solubles à chaud dans une certaine proportion de lactosazone ; de telle façon que, si ces osazones se trouvent en présence

et que la lactosazone soit en excès, celle-ci dissolvera à

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