Étude des ferments des glucosides et des hydrates de carbonne chez les mollusques et chez les crustacés

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vement à la méthode polarimétrique et la méthode des osazones donne des résultats satisfaisants, sans être toutefois plus sensible que les autres méthodes.

En somme, on voit qu'il est impossible par aucune des méthodes employées de reconnaître avec certitude une hydrolyse du lactose, si elle est inférieure à 20 °/ de ce sucre. Ce fait est important pour la recherche de la lactase. Il faudra donc laisser le lactose assez longtemps en contact des liquides fermentaires afin que l’hydrolyse, si elle a lieu, soit assez avancée pour qu'elle puisse être constatée à l’aide des méthodes que nous possédons. Il ne suffit pas, pour le lactose, qu'il ait subi un commencement d'hydrolyse pour qu’on puisse mettre celle-ci en évidence, comme pour l'hydrolyse du saccharose, par exemple, qu'on reconnaît, dès le début, à l’aide de la liqueur de Fehling.

Dans nos expériences sur le dédoublement diastasique du lactose, nous avons déféqué les liquides dans le but de dosages polarimétriques. par le nitrate mercurique, suivant la méthode que nous avons indiquée à propos des glucosides. Rappelons que le nitrate mercurique a été appliqué dans les dosages polarimétriques

du lactose dans le lait, par Wiley (1) en 1884 et par

(1) Wizey, loc, cit.

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