Bonaparte à Ancône

238 BONAPARTE A ANCONE

nich, Call, Gemünd, y compris les arrondissements et banlieues de ces communes ; puis les deux rives de l’Urft, jusqu’à son embouchure dans la Roër ; les deux rives de la Roër, en Y comprenant Heimbach, Niedeggen, Düren et Juliers, avec leurs arrondissements, jusqu’à Linnich ; de là, une ligne passant par Kofferen, Erckelens, Dahlen, Sittard, Papelerh, Lüttelforst, Raderberg, Hoverlosh (s’il se trouve dans la direction de la ligne), Leuthereide, Kaldenkirchen, Wambach, Heringen et Golden, avec la ville de Venlo et son arrondissement.

Et si, malgré les bons offices de S. M. l’Empereur, Roi de Hongrie et de Bohème, l'Empire

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germanique ne consentait pas à l'acquisition, par la République française, de la ligne de limites ci-dessus désignée, S. M. l'Empereur et Roi s'engage formellement à ne fournir à l’armée d'Empire que son contingent, qui ne pourra être employé que dans les forteresses, sans que, par là, il soit porté aucune atteinte à la paix et à l'amitié qui viennent d’être établies entre Sadite Majesté et la République française.

ARTICLE 2

S. M. l'Empereur, Roi de Hongrie et de