Considérations sur l'état présent des choses, relativement à politique, aux armée, aux ésperances que lon peux fonder sur une paix prochaine avec la France, etc.

25 ve, non l'infufhfance du moyen, mais le danger de fan abus.

CHAPITRE V.

Vices de l'armée autrichienne.

Ce chapitre fera moins court que Je ne voudrois, car il men coûte de donner une certaine tendue à des obfervations critiques fur des vices dangereux , & auxquels il eft inflant de porter remede.

Le premier, eff une économie tellement févere, qu'il femble que lon aye abfolement perdu. de vüe faxiôme fi vrai que l'argent eft le nerf de la guerre. Que cette économie {oit la fuite inévitable d’un défaut de moyens, n'eft pas une éxcufe, car il y a tout aufli peu a choïfir entre Îles ‘conditions d’une paix, quelque humiliantes qu'elles foyent, & les conféquences d’une guerre ,

rapport me fut confirmé par une Lettre d’un général françois dont le porteur fut pris, &

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