"La Guzla" de Prosper Mérimee : les origines du livre - ses sources sa fortune : étude d'histoire romantique : thèse pour le doctorat d'Université

LES ILLYRIENS AVANT « LA GÜZLA ».

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Mais s’il ne fut pas lu du grand public, il eut, par contre, un lecteur remarquable en Mérimée ; et le jour où le jeune auteur du Théâtre de Clara Gazul aura envie de visiter les pays inconnus des « touristes anglais » : c’est dans l’lllyrie de Charles Nodier que ce gentleman à l'humeur vagabonde désirera aller éprouver des impressions nouvelles.

et de « Thérèse Auber », Paris, Ladvocat, 1820, 2 vol. La seconde édition, parue quelques mois plus tard, porte à la couverture le nom de Nodier, mais il désavoua la paternité du livre, à la grande colère de Ladvocat. (E. Estève, Byron et le romantisme français, Paris, 1907, pp. 76-77.)