Le progrès des arts dans la République : poème : précédé d'un discours sur le même sujet : suivi d'un autre poème intitulé Dieu et les Saints; de quelques vers sur les victoires de Buonaparté; des Doléances du Pape et de nouveaux Hymnes civiques

Pt.

CTI V T'OXU*ENS. 69 Moi, je pourrois leur adresser Des éloges ou des prières! .... Vil flatteur, cours les encenser.. Que l'on me ramène aux carrières.

20 Frimaire.

HYMNE À LA MÈËRE-ET A LA FILLE.

C’ssr la Liberté que je chante, Tyrans, tombez à ses genoux, Admirez sa grace touchante; Peuples, à son nom levez-vous! T1 n’est point de bonheur sanselle, Point de gaîté, point de repos; Sans elle, hélas ! tous les fléaux Accablent la race mortelle.

La Liberté! la Täberté!

Règne sur mon cœur enchanté.

La Liberté par sa présence, Réveille, enflamme les esprits; C’est elle qui de la vaillance Aux héros décerne le prix :

Elle fit l'honneur de la Grèce,

Des vienx Romains tous les succès; Elle conduira les Erançais

Dans le temple de la Sagesse... La Liberté ! la Liberté!

Règne sur mon cœur enchanté.