Le progrès des arts dans la République : poème : précédé d'un discours sur le même sujet : suivi d'un autre poème intitulé Dieu et les Saints; de quelques vers sur les victoires de Buonaparté; des Doléances du Pape et de nouveaux Hymnes civiques
HYMNES
L’Egalité n’est pas moins belle ,' De l'homme elle établit les droits; Voyez sa balance immortelle, Peser les peuples et les rois. Graces à son pouvoir magique, Les despotes sont détrônés, Et tous les monstres couronnés Tombent devant la République. La Liberté ! lEgalité! Règnent sur mon cœur enchanté.
Que dis-je? Egalité charmante! Toi, dont j'adore les 4ppas, Sans toi, sans ta vertu puissante, La Liberté ne seroit pas. Toutes deux voussavez me plaire; Et sans vouloir vous séparer, J'aime, il faut vous letdéclarer, Autant la fille.que la mère. La Liberté! l'Egalité!! Règnent sur mon cœur enchanté.
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:2"80" Frimaire.
PORTRAIT DETARÉPUBLIQUE.
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Exsrr ne connoît que la loi Pour maîtresse et pour reine ;
Le peuple par elle est un roi, Paxelle il rompt $4 chaîne ;