Le progrès des arts dans la République : poème : précédé d'un discours sur le même sujet : suivi d'un autre poème intitulé Dieu et les Saints; de quelques vers sur les victoires de Buonaparté; des Doléances du Pape et de nouveaux Hymnes civiques

CL Vtt QUE S- 87 Quel art employas-tu dans tes œuvres sublimes, Pour noffenser jamais l’aûguste vérité, Et pour faire sortir les vertns magnanimes Du sein de la perversité?

L’astre du jour ainsi dans une terre immonde, Fait éclore lesileurs et les fruits les plus doux; Ainsi quand les autans ont bouleversé l'onde,

Le calme naît de leur courroux.

Mais que vois-fe?... un ami vient t’ofrir un asyle Où bientôt la douleur te porte un coup mortel: La dépouille d’un sage honore Ermenonville, ÆErmenonwille a son autel: /

20 Ventôse. ATEN LR Rnb e AL: LIT É.

Q v’1L est heureux, Pagriculteur : Qui voit, sur sa table champêtre, Les fruits que son travail fit naître, Et se nourrit de son labeur !

Sa main, sagement indigente, Rejette l'or de Lucullus,

Æt laisse les mets superflus

Gouvrir les tables d’Agrigente.

C’est à toi qu'il doit ce bonheur,

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