Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens

FRANÇAISE, IE, dans peu d'années de fa furface polirique de l'Europe, Enun mot, fire, vous avez tout à efpérer de fa prof. périté des Français & des Polonais, en protégeant efhcacement leurs nouvelles conftitutions; vous avez tout à craindre de l’Autriche & de la Ruflie, en vous privant des fecours de la Pologne & de la France; & fi vous perfiftiez dans vos intentions fuppofées contre ces peuples , vous préféreriez donc les perfides confeils d'hommes qui auroient la vuetrès-courte, ou qui fe: goient bien corrompus ? Signé, D. E.T.