Un diplomate d'il y a cent ans : Frédéric de Gentz (1764-1832)

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au fond de sa condamnation de la Révolution française, constitue l’unité morale de ses idées politiques. Jusque vers 1800, il ne l’appliquera qu’à l’organisation intérieure des Etats. Nous allons avoir à déterminer de quelle manière il envisagea d’abord la Révolution française, au point de vue de la politique extérieure.