Un exemple à suivre : la Prusse après Iéna : 1806-1871

24 LA PRUSSE APRÈS IÉNA,

Napoléon pouvait croire que désormais la Prusse ne pêserait pas plus dans la balance européenne qu'une de ces principautés allemandes qu’il maniait et remaniait à sa guise comme une pâte molle. Le despote, habitué à l’obéissance servile, comptait sans le patriotisme du peuple allemand.