Anecdote sur la vie politique de Burke et sur sa mort, relativement à ses recherches et à ses calculs sur les finances et le commerce de la France depuis un siècle : avec des rapprochemens sur l'état progressif de l'Angleterre et sur les moyens de ruiner la nation française
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mais il garda toujours son arrière pensée.
La faveur que Pitt obtenoit, de plus en plus, le: désespéroit ; il devint taciturne ; son. ambition, ft place au dépit; il.s’indisposa. insensiblement contre toutes :les mesures qu’on vouloit prendre; il gromeloit intérieurement contre le parti de la cour, sans oser se jeter. dans l'opposition ; il vouloit biex perdre la France, maïs äl auroit desiré que ce fût par ses moyens.. : La, coalition de. Pilnitz lui déplut;, il en suivit cependant. le mouvement ;..et toujours attentif, aux ressources que-la France alloit déployer, il se: reporta àses calculs, pour juger à quel point cette crise PER la réduire. Léod'ét
Hinsimuoit, conéint. à ses,amis quon auroit pumieux faire , sans-engager le Gouvernement anglais à tant de dépenses.
La suppression. du clergé etide la noblesse de France ,-les biens immenses dont la nation. ,s’empara , leur mise eni vente, l’émission. .des.,assignats.,.la. formation presque subite de dix armées qui attachoient plus d’un, million. de, Français, à. la défense: de leur pays ;.tous ces. événemens., aussi räpides qu’extraordinaires, déconcertèrent le