Anecdote sur la vie politique de Burke et sur sa mort, relativement à ses recherches et à ses calculs sur les finances et le commerce de la France depuis un siècle : avec des rapprochemens sur l'état progressif de l'Angleterre et sur les moyens de ruiner la nation française

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vieux Burke ; ses combinaisons se portérént alors sur les brand résultats que cette commotion alloit produire dans toute l’Europe.

La retraite du roi de Prusse , la prise de la Belgique et l’attitude imposante que les Français commençoient à prendre , l’éton: nèrent presqu'autant que le système de Pitt, dont la politique fut dès-lors de sacrifier les richesses ‘de l'Angletérre à ee ruine dé la France. |

Burke avoit abandonné ‘ses calculs ; 5 les prodigieuses ressources que ‘faisoit naîtrè la plus ‘terrible révolution qui eût jariais existé; bouleversèrent-ses idées ; il s’écrioit quel peuple ! quel peuple!jé ne le connoissois pas. . . ..

Plus de trois ans s'étoient écoulés depuis le départ du capitaine Barth. J'ai perdu mon arni, disoit Burke , je n'ai plus pérsonne à qui je puisse confier mes mortels ennuis: Pittcest devenu maître: absolu de VAnpgletérré, il‘la rwinera ; et je Paurois enrichie... Mt ‘peuplé! plus pauvre et pitoyable roï!.... :

Le viéux Burke se retira du grand moñde, dévint eacochyme , humoriste ; le grand administfdteur disparut, ‘on ‘ne retrouvoit

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