La crise balkanique (1912-1913)

BEOTPAA | LukarGelovié que la populatid E QG rRA À nous ous deman-

dons de nous céder, soit plutôt bulgare que serbe. Les

centaines de mille de Turcs que par l’annexion de la Thrace vous englobez, les détachez-vous de leur pays en vous basant toujours sur le principe des nalionalités ? Le principe des nationalités sur lequel vous fondez vos droits quand il s’agit de servir vos intérêts, ne vous semble-{-il léger quand on pourrait le lourner contre vous ?

Une entente était difficile. La Russie devait multiplier ses efforts pour tenter l'impossible, c’est-à-dire une conciliation pacifique des prétentions opposées et ainsi sauver le principe de l'Union Balkanique.

Mais ayant que de suivre l’activité russe, nous allons résumer les prélentions territoriales des trois royaumes (1) :

Bulgarie. — La ligne Enos-Midia lui trace la frontière turque ; les ports de Dédeagatch et Cavalla lui ouvriront l'accès à la mer Egée ; un maximum de

sacrifices elle consentirait en abandonnant Salonique

- {. Je fais remarquer que ces dates n’ont rien d’officiel, comme nous le verrons par la suite, aucun échange de vues autorisé n'a eu lieu à ce sujet entre gouvernements balkaniques. Ce sont des impressions tirées de la lecture des DU politiques de ces différents PES AQUE je résume.