Pajol. Ode

13 Il n’est plus, et cette tristesse Qui sur ces grands fronts apparaît Plus que le mal et la vieillesse Tortura son cœur en secret : Il se redressa sur sa couche, Son œil devint morne et farouche, La mort arracha de sa’bouche

Un eri de rage et de regret !.…

LIL.

Oh !nous la comprenons cette douleur profonde,

Conquérants qui de gloire avez rempli le monde, Vous en qui tout fut beau ;

Peut-être avez-vous vu la dernière espérance

S'en aller avec vous et douté de la France

Aux portes du tombeau !.…