Le progrès des arts dans la République : poème : précédé d'un discours sur le même sujet : suivi d'un autre poème intitulé Dieu et les Saints; de quelques vers sur les victoires de Buonaparté; des Doléances du Pape et de nouveaux Hymnes civiques

(5) Il est sage, tranquille , ami de l'équité , Son frout majestueux peint la sérénité ; Ei parlant en ces mots d'une voix assurée Il calme les fureuïs de la troupe sacrée. Fu

Messieurs les saints, dit-il, mes très-chers compagnons, Se voir du paradis chassés par des ‘oignons , Est un malheur sans doute , un opprobre peut-être ; Mais ainsi l'a voulu nôtre souverain maître ; L'almanach du Saint-Père est tombé pour jamais, Tout Paris y renonce et les maudits Français , S’arrogeant des vainqueurs le hardi privilège , Nous ont même bannis de l'almanach de Liège ; De ces revers frappés, honteux de’césaffronts , Je vois en ce moment éclater sur vos fronts L'impatient desir d’une prompte vengeance ; Ami , vivons toujours en bonne intellisence À vec l’Etre puissant qui créa les humains, Comme un vase léger échappé de ses mains ; Son doigt peut nous briser, son souffle nous détruire, Aux profanes d’en-bas n'apprétons point à rire, Et pour l'honnieurentn de notre sainteté Supporions le malheur avec tranquillité,

Gardés-vous toute fois de perdre l'espérance , Vous pouvés faire a Dieu voire humble remontrance , Sur l'esprit des mortels lui rappeler vos droits,

Il aime la justice et peut-être à sa voix Chacun de ñous vainqueur d’vu almanach postiche Et ü'enceus parfumé reutrera dans sa niche,

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L'empiée à ces mots s'ébranle ; l'Eternel Voit aux pieds de son trône un concours solemnel —

Marsoilon: ; cet historien. dit que! François était né violent, enclin à la colère, et qu il lui fallait de grands efforts pour se corriger. L