Étude des ferments des glucosides et des hydrates de carbonne chez les mollusques et chez les crustacés
la température du laboratoire, a provoqué un dédoublement d'environ 30 ‘/. de ce glucoside,
Tapes decussatus L. — Unelmecération chloroformée de quatre hépato-pancréas de ce Mollusque, filtrée, donne 15° de liquide. On fait avec ce liquide les trois
mélanges suivants :
a) 5° macération + 40% amygdaline à 2 gr. 50 0/0
b) st macération bouillie Æ 40! amygdaline à 2 gr. so 0,
c) st macération + 40° eau distillée.
Antiseptique toluol. Après 24 heures de contact à la température du laboratoire on chasse le chloroforme par la chaleur et on constate qu'il y a daus a) une quantité de sucre réducteur correspondant à 27 9/0 d'amygdaline hydrolysée. Les liquides b) et c) ne contiennent pas de sucre réducteur.
Pecten maximus L. — [’amygdaline est dédoublée par une macération d'hépato-pancréas de Pecten. Par contre une macération de glandes génitales ne dédouble pas ce glucoside,
Mya arenaria L. — Ce Mollusque habite les fonds vaseux dans lesquels il s'enfonce. Seslongs siphons, qui viennent émerger à la surface du sol, sont le siège de deux courants liquides de sens opposés, lui fournissant ainsi l'aliment gazeux et l'aliment solide. Ce dernierest représenté par les nombreuses particules organiques et les êtres microscopiques en suspension dans l’eau.
Une macération chloroformée de deux hépato-pancréas,