La légende de Cathelineau : ses débuts, son brevet de généralissime, son élection, sa mort (mars-juillet 1793) : avec nombreux documents inédits et inconnus

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abbé des renseignements longtemps attendus

On voit aussi dans cette Lettre de Cantiteau qu'en lécrivant il réservait à part encore « quelque chose de personnel à Cathelineau », et il renvoie * « à la note sur son compte. » celle probablement qui semblait déjà bien attardée à la marquise. De fait le texte de l’auteur avait été publié presque en entier et utilisé, pour la première fois dès 1809, par Lebouvier-Desmortiers, et rien n’empêche de croire qu'il en fut® le destinataire primitif; — ni que la marquise et son rédacteur n’y aient pris par suite les quelques détails empruntés.

Ce qu'on peut affirmer de plus, avec même assurance, ce sont les relations anciennes de

l'abbé avec la veuve de Lescure, qui l'avait

1« Si Allard, Beaugé, Jagault ont fini leurs notes, il ne « manque plus que celles du curé sur Cathelineau et les « vœux des Vendéens, pelits morceaux détachés, » Cest la dernière phrase d’une dernière lettre que publie M. de Barante au L. [, p. 408 de ses Mémoires.

SP. 24.

# L’allusion que fait Cantiteau, p. 31, « à ceux qui re« gardent la nomination de Cathelineau comme l'effet des «intrigues de d'Elbée », parait désigner directement de Beauchamp, que précisément Lebouvier-Desmortiers entreprenuit de réfuter.