La Serbie

d'une sorte de imonopole, ea tant que bénéficiaires des condilions du climat. Rien que cette comparaison des vouditions de- vie eütre deux tronçons d'une même population provoquerait un mécontertement dont on ne peut mesurer la g andeur. Ef ce mé comme un stimulant inoui du sentiment national qui se miaintiemdra vivace ma'gré tous les empiètements de la force brutale. Que ferait alors lItaïe, cott: Itaüe dont les conditions sociales intérieures laissent à désirer? Elle devrait tenir dans ces provinces des armées entières, élevr des fortifivations coûteuses et faire des dépenses énormes au préjudice de son p opre peup & néocssiteux et miécontent Si le; hommes d'Etat italiens ne veu'ent pas accule: lila de demhin à des malheurs érréparables, qu'ils approfondissent un peu mieux fous ces problèmes ! Leurs connaissances seroni très salutaires au leademain qui s'annonce t ès orag'ux. 1... POPOVITH.

À

menceau.

La Conférence de la paix

INeuvième leltre

La semaine critique, celle des grandes décicions, s'est terminée sans que les problèmes principaux de la paix aient trouvé leurs solutions | ne adéquates. Elle ne s'est pas terminée, cependant, sans faire avancer quelque peu les travaux de la Conférence. Le public ne sait encore sur les décisions prises rien de positif, et pourtant de “ombreux signes indiquent que des compromis sont en train de se faire et que, bientôt, on gonnattra les clauses préliminaires de la paix élaborées par le Conseil des Quatre.

On nous assure que la question de la frontière occidentale de l'Allemagne a été résolue de facon à éviter des annexions de territoires allemands, et à donner en même temps les guranties nécessaires à la France pour sa sécuvité future, En ce qui concerne le bassin minier de la Sarre, son exploitation économique par la France est admise en principe, et il ne reste qu'à trouver des formules juridiques pour régler le régime mixte franco-allemand qui y sera appliqué. La question des frontières de la Pologne sera également résolue d'ici à quelques jours, avec l'aide de M. Paderewski, président de la République Polonaise, qui est arrivé à Paris. La grosse question des réparations et de l'indemnité préoccupe également le Conseil des Quatre qui siège presque en permanence, malgré l'indisposion du président Wilson, remplacé provisoirement par son ami le colonel House. On affirme dans les milieux ordinairement bien informés que l'accord a été déjà réalisé dans les questions de principe et qu'il ne s’agit plus que d'appliquer je formule générale adoptée qui établit la nature et le montant de l'obligation de l'Allemagne qui doit faire les dues réparations,

C'est ainsi que les optimistes envisagent la situation, exprimant le ferme espoir de voir avant Pâques toutes les condi'ions préliminaires de paix arrêtées et prêèles à être soumises à l'Allemagne. Le travail purement interallié serait donc terminé dans un délai relativement bref, et une fois l'entente et l'unité de vues raalisées entre les Alliés, on pourrait affronter avec plus de calme et de sang-froid la situation en Russie, en Allemagne et partout ailleurs.

Cet optimisme n'est pas partagé par le public. Mais tout le monde reconnaît que les peuples véclament la paix et qu'on ne pourra pas prolonger indéfiniment une situation aussi incertaine Les décisions doivent donc intervenir up jour ou l'autre, et devant la perspective de solutions

s'éclaircira

le Conseil

sa place

prendre présence

inexacie ne pouvait pas

présentants de jusqu'au

FEUILLETON a ——

RÉSUMÉ des opérations de la bataille du Vardar (Septembre r918)

séetéhr jusqu'au Mmonasière de. SEGeorges. Elle difige des

(Suite.) \

L'avialion à continué à se montrer très active au cours de ces wrÉraifons ; reconnait ANCeS d'armée, jalonmomen(s, patrouilles, blmbardements el attaques À la. mitrailleuse, constituent pour cetle joéénée sa tâche ulile et sa contribution au succès général. Donc, tous les eflorts que l'ennemi à fait pour nous empêcher de’ passer sur la rive gauche de la Cerna restèrent vains. Cet insuccès l'a obligé à se décider à abandonner fon front de 1 boucle de la Cerna et plus à l'ouest, el, en efiet, le communiqué des armées alliées annonce que l'ennemi abandonne la majeure partie de ses lignes foïtiliéés de Monastir à Doüran. Les opéralions du 21 septembre ont coupé les lignes de communications les plus directes entre les armées qui se trouvaient dans la vallée du Vardar et celles qui opéraient âans la direcion Prilep-Monsstir. Le con à pénétré si profondément dans le dispositif de ces armées que les” ailés commencent à céder. En exerfint une pression sur le flanc gauche de l'ennemi, la ire armée pœbe a contribué à Ita: bandon des lignes adverses sur le front du corps exp‘d tionn ire ÿalien gl le front des divisions de l'A. F. ©., parce que l'emmemi n'a qué le souci de garder la seule ligné de communications qui Hui reste el qui mène de Prilep à Vélès, sans quoi, il serait néduit

à ka Gernière ligne qui le conduit par Kusevo à Uskub et qu'il:

“doit ecpendänt résérvêér à ses troupes qui opèrent sur ls front

dé Monas!'ir. à l'ouésl. Par -suite de l'avance de la 2me armée serbe qui borde le

Vardar, do Demir Kapu jusqu'à l'embouchure de ia Cerna, l'ar-

transactionnelles qui A : complètement, une réaction commence à se faire sentir, réaction confuse, mals qu'il n'est pas inulile de signaler pour € une 1de l désorientaliôn de LRRRIeE publique. D'un côté, une campagne violente est menée par la presse di M F1 | Northcliff contre Lloyd méoutentem-nt agirat | la Conférence, et de l'autre coté, des rumeurs courent sur la retraite prochaine de -

M. “Lloyd George s'est vu obligé de déclarer dans le « Petit Parisien » que britannique était à l'abri de toute épreuve. Quant à la prétendue fatigue de M. Clemenceau, | F M. Stced, qui est allé pressentir l'illustre président du Conseil français à ce sujet, écrit dans le « Times » que M. Clemenceau ne montre aucun signe de fatigue, mais que certains changements sont bien à remarquer chez lui. « Son visage, dit M. Steed, avait une expression de mélancolie ë que je n'avais jamais remarquée auparavant. Le sentiment que ses collègues du Conseil des Quatre s'égaraient, que leur résistance inexplicable à affronter résolument les questions qui devenaient chaque jour plus aiguës élaient de uature à compromettre toute l'œuvre de la p ik

enlia.saproprekdétermination de faire à tôut, prix son devoir à l'égard de son pays, telles sont les causes principales d’une expression que je nc puis qualifier autrement que de tragique ».” cs milieux italiens s’agitent également et l’on chuchote qu'une action Bissolati-Canepa se pr$parerait pour renverser Sonnino et reve possible une entente amiable avec les Sudslaves,

Toutes ces combinaisons caractérisent suff-

samment l'atmosphère qui règne à Paris et qui

puissances sortiront des mystères de la diplomatie secrète pour présenter aux peuples les fruits de leurs conciliabules. Ce jour approche et le public devrait avoir de la patience. Quant à notre problème national, il vient d'être traité par le Conseil des Quatre d’une facon qui nous donne une certaine satisfaction formelle. L'Italie soutenait, dès le début, que, dans la question adriatique, elle ne représentait pas une des parties placées sur le même pied que notre Royaume, derait en sa qualité de grande puissance. D'après la thèse italienne, nous seuls, en tant que représentants d'un petit Etat, aurions le rôle de réclamant, tandis que fltalie ferait partie du conseil qui aura à juger. Ce point de vue, plutôt orgueilleux que politique, n’a pas été admis par des Quatre. M. Orlando a été mis en demeure de choisir: ou consentir à une discusson contradictoire avec les représentants de notre Royaume, ce qui équivaudrait pratiquement à l'admission au Conseil des Quatre d'un délégué de notre Royaume, qui y siègerait au même titre que le délégué italien; ou bien abandonner provisoirement, dans cette question particulière, de membre du Conseil-des Quatre pofir : devenir, ce qu'il est en réalité, le représentant d'une partie intéressée dans le litige en question. M. Orlando a préféré cette dernière solution. C'est pourquoi le 3 avril, au matin, le premiér délégué italien a eu à son, Llyod George et lienne, et l'après-midi, M. Troumbitch, le second - délégué de notre Royaume, a présenté notre those, Pour ménager la susceptibilité des Italiens, le Conseil des Quatre publiait le même our un communiqué disant que M. Orlando avait amicalement expliqué à ses collègues les raisons pour lesquelles il ne croyait pas devoir part aux des délégués sudslaves. Les Italiens, profitant de ce communiqué, se sont empressés de donner à la presse une version de l'affaire. M. Barzilaï a fait convoquer Icé journalistes pour leur dire que M. Orlando entrer en discussion avec les res Croates ct-des Slovènes qui, dernier moment, se battirent avec acharnement contre les Italiens.

ne atisferaient ersonne | à ei amence à se faire | à Lout ce qui a précédé l'effond

che et comment les Itglié

Italie

donner une idée de la ploraient, après Caporetlo,

rophe. Il est vraiment Georgé et contre toute.

M. Cle- | le plus fougueux, criant à fa

l'amitié franco-

jolis progrès en Italie ! La manœuvre

lienne, pour masquer facilitée par la rigidité mutisme que les diplomates vons pas

aux Journalistes cé

ainsi par les Italiens.

J'Ilalie. que le jour où les grandes

4 +

mais que ce serait elle qui déci-

exposer devant MM. WilClemenceau la thèse ita-

délibéralions du Conseil en

se poursuit dans tous les

ère principale ae loules les forces qui topéraient de Huma jus-

qu'à Doiran e! Vélès est également occupée. (Il ne lui rest: que

la seule route aç Stroumica, laquelle, en cflet, débordat do oon-

vois innombrables. Le | 28 seplumbre 1918.

2me armée. — [a division du Timok a afieint la veille le Varaar avec ses deux colonües. L’ennemi n incendié ses dépôts de munitions à la gare de Demir Kapou et à Banja. Dans la journée cette division envoie. .des reconnaissences et élargit son LE tachemerils mixtes sur Davidovo et Meleikovo pour couper la rétraile à la 5me division bulgare qui 5e replie en traversant le fleuve. En outre, elle occupe, sur la rive gauche, Kureinica et la cote 299, où il y a quelques éléments ennemis avec do l'artillerie de montagne. La gauche s'empare du Dub'jani et des crêtes au nord-esl et se rapproche de la poriion de Kiritz-Tepa sur laquelle l'ennemi s'est rétiré et a commiencé à se retrancher. Les patrouilles de cavalerie poussent jusqu'à Hudovo, où elles açrrennent que le 2e régiment bulgare, appartenant à la 5me division, est arrivé le jour précécent, vers midi, au village, accompagné do deux balleries de campagne avec la mission ‘de protéger la retraite de la 5me division qui passait le fleuve à Hudovo, se repliant sur Radovislo.

La division yougoslave borde le Vardar entre le ruisseau qui paëse par le village dé Tremenic et le conluent de la Cerna et du Vardar et, de BR, son front suit la Cerna jusqu'à “Viozartzi. Le passage du Vardar est commencé par de pelits déiachements. à l'embouchure de la Cerna e. à Krivolak. Il progresse du côlé de Muzanci et de Pepelisté, Des éléments ‘de cavalerie allver: le n'oprosent qu'une faible résistance. , ; :

Ensuite, au cours de la journée, elle y joint un batailom dans la direction de Pepelisté et occupe les arêtes qui dominent la rive et qui font parlie de la ;wsition de Kara-Hodzali, que l'en: nemi tüent toujouté. Quelques fractions du 21e régiment sont en voyées aussi Sur l’autre rive. La gauche -délache trois compagnies, qui passent la rivière pour proléger le pont de Vozarizi.

Ps x Prétexte lamentable et ridicule quand on pense ndrement de l'Autrin$ récherchaient et l’aide des Yougoäves pour sauver l'Italie d’une nouvelle catasy { e constater que

triste de à ‘Je Congrès de

M. Orlando, qui avait patronné Home, et M. Barzilaï, qui avait tenu le discours ire sauter les vitres de la grande salle du Capitole, que ces deux hommes, qui conduisent l'Italie en ce moment vers un but incertain, n’ont pas m premier anniversaire du Congrès de Rome pour enier toutes leurs paroles et tous leurs Serments du mois d'avril 1918. On voit que la théorie germanique du « chiffon de papier » a fait de

très habile de la délégation itasa propre défaite dans cette question importante de procédure, a été de notre délégation qui s'en tient au protocole et s'entoure du même des grandes puissances. Une des causes pour lesquelles nous n'aréussi à faire défendre notre point de vué par la presse, c’est que nous ne donnons pas Le

k i LRONS ONE DENT UE -laumeTieblknecht-: informations complètes et de première main. Nous n'aurions pas dû nous laisser devancer

En ce qui concerne Fiume, on parle beaucoup, dans les milieux américains, d'une combinaison mixte. On distinguerait entre le port de Fiume, que l'on attribuerait à nous, et la ville même,que l'on réserverait d'une façon ou d'une autre à

Cette solution est inacceptable pour nous, car elle aggraverait le conflit au lieu de l’aplanir.

M. le professeur Reiss a fait, la semaine dernière, au Cercle français de la presse étrangère, use conférence magistrale sur les atrocités austro-bulgares en Serbie. La conférence était organiste par le Comité de propagande balkanique, auquel revient tout l'honneur de la réussite brillante de cette maniféstation franco-serbe. En présence de nombreux personnages politiques et militaires français, et sous la présidence de M. Maginot, ancien ministre, M. tableau saisissant de nos martyrs. De toutes ses paroles ressorlaient les sentiments profonds d'amitié qu'il éprouve pour le peuple serbe. Nous devons garder une reconnaissance éternelle à M. Reiss de son dévouement à la cause de la vérité. Et nous tenons à remercier très chaleureusement MM. Husson, R. Moulin et Bonassieux, les organisateurs de cette belle mani{ation dont ils avaient pris l'initiative.

nr] plan des bolehévisies maguars

Le général Smuls, négociateur expériimienté ès affaires austro-hongroises, a étonnammeat vite terminé sa visite à Budapesl. Tout permet de croire que es imprèssions qu'il a recueillies sur p'ace n€ sont pas très encourageantes, ce qui, forcément amène cette question: agrat-on où non en Hongrie et, si ou, comment?

Œn attendant la décision de lEntente, les Hongroïs agissent en quatr'èmik vilesse. Déjà plus d’une quarantaine d'ordonnances ont été édictées qui ont trait à formes de la vie d'Etat. La pocialisation

l'Etat avec une rapidité fébrile. L'ordre communiste prend la place de ancien régime, sans aucune protestat on apparente de la part de ceux que visent les mfsurés nouvelles et qu'elles atteignent le plus sen-

siblement. I semble que l'ancien Hongrüe des grands propriétaires et des hobe- 5 reaux soit morte; la voix des anciens matres paraît élouffée avec celle de la bourgeoisie sous l'effet de la meule qui tourné ve:tigineusement des Zélés créateurs qui

se proposent de faire un monde nouveau

sur la base de l’ancienne pourriture €, Jen même temps, de récupérer Lis anciennes frontères de la Hongr'e. Aux idées, directrices de cette activité s'adapte aussi Ia 4 nouvelle imiorale, qui rompt tout rappork

avec le passé abhorré. :

Bela Kun nous dét la tactique que le mouvement doit adopter pour aboutir :

« … les actes ne s’écoulent pas en ligne droite, mais se meuvent dans une opposition nécessaire. Ce qui était inoppor-

tuu bie: est non seulemiem! bon, mais en-

core nécessaire aujourdhui, grâce au changenent de situation, ef Lénine avait raison lo:squ'il nous répétait journelemient, à : nous, fes disciples, ces paro'es de Guil«Si c'est, nécessaires. … je changerai de tactique vingt-quatre fois. durant vingt-quatre heures. » Dre

C'est la tactique et la mibrale de la révolution magvare, qui est éloquente, très éloquente. et le Conseil des Quatre en cou: ‘10 cevra certainement toute l'importance, surtout Sil la mit en corrélation avec led faits et les paroles du gouvernement des Soviels magyars.

Bela Kun et ses adeptes pnt témoigné d'une certaine courtoise et d'une c°rtainiä bonne vo'onté à l'égard de l'Enitente. T's on souvent soul gné leur décision de n’attauer ni les nouveaux Etais nationaux fondés sur les débris de Fancienne monarche, ni les forces de lEntente. Ils ont parlé ainsi, officiellement. Mais autres sont leurs expressions lorsqu'ils déploient leur programme devant ceux sur lasquels fis fondent leur pouvor.

Dans le premier numéro du journal « Le soldat rouge », le commissaire pour la gue-re, Joseph Pogany, préconisait la nécessilé d’une armée rouge, en établissait ainsi les buis:

« La vocation historique des ouvriers ma | gyars les oblige, non seu'ement à communiser les usines et les terres des capitalistes, imais aussi toutes les usines, mipes el terres qui sont actuellement ken! fpossession des boyards rouinains, des capitalistes tchèques et des généraux serbes. Ie-devoir historique de l'armée rouge est qu'en union avec l'armée rouge des soviets russes, elle terrasse pour l’éternité 1e capiialisime. »

Le suppléant du compnissaire de la guerre, Szamuelly, écrivait que « l’armée rouge ne peut avoir que deux chemins devant elle: vaincre où impourir ».

Le comimissaire de la guerre Pogany disait dans tun discours: « Nous défendrous et fiendrons jusqu'à la dernière goutte de notre sang nos mines et notre Banat et nous ne tolèreronss pas que l'‘mpérialisme capitaliste ou l'avidité des boyards ait dans es mains e£ qui est indispenisable À la vie et au bien-être du prolétariat magyar victorieux. »

En demandant des volontaires pour la marine fluviale, l'appel officiel dit entra autres :

« Nous voulons arimær toutes nios unités fluviales pour que nous soyons en état,

ême attendu le

Reiss a fait un

EL. PA

PozrrIcuf

Cu

x

toutes les

domaines de

L'enmemi, outre la posilton mentionnée plus haut, tenait le Kolak et la pente ouest dans la ‘direction du monastère dé Cicevo, ainsi que les positions à l'ouest de la gare de Drenov, où il él@it installé et d'où il tenait pous son feu Vozartzi et le roue de Kavadar. La progression -de la division yougoslave pontinue ei sôn. sile droite, en combattant toute la journée, mBrrive au cours as la nuit à occuper les Grêles à la hauteur du village ae Kara-Odzali et Cerkoes-Skcej, L'ennemi exécute fci quatre contratiaques, loutes repoussées. Après quoi, il se ‘retire sur Soba. La gauche ae la division atlcint au. cours de la journée la ligne Cave-Cote 405-Elescevo. ;

Le commandant de la 17me D. I C. envoie un délachemeni composé as deux bataillons et d'une baiter:æ pour occuper Ja

ligne VozartziSiaro-Drenovo et couvrir notre dispositif dans cette = airéclion et pour tenir la ligne Gradsko Kolac-Cote 220-GornjeCicèvo. Le resto de la division est rassemblé sur la ligne Mo: kliste-Dabliste-Reova.

- La division Choumadia es! rassemblée sur la digne Gornja: Drahovica-Barova, Sur son flanc droit une balterie ennemie A üiré quelques coups de la cota 950 au nordest de Petrovo.

La division de cavaleire entame la poursuite .dans la direction de Slip en vue d’aticindre la crête «entre Toplik et Dragovo € as permettre à nos troupes de mianœuvrer librement 1dans ‘6 secteur.

La 2me armée en entrant à Krivolak y a capturé tros F0 motives ct 170 wagons chargés de sel, ‘de farine, deux @éro … planes ellemamds tout neufs, deux automobiles et toutes sort ae malériel, ainsi qu'un canon de campagne monté sur truck et destiné au lir aérien. :

dre armée. — La division de la Morava Confinue la pour suite pour couper complètement Ja ligne de communication en: ù nemic Graasko-Drenovo-Prilep e conslate qua l'ennemi a incons. s dié les dépôts à l'ouest de Pajci. Elle accomplit sa mission al cours de la journée. @ EZ 3 : 3

: ‘a h, l'ennemi se replie en désordra devant la colonne dar laque de la division de la Drina vers Trojaci el Karevik. L'& cadron divisionnaire entre à Dreu. L'adyersaire fail rebrou:s r che