La Serbie

ses leur aide et au moyen des armes, si cest nécessaire, de chasser de notre tle:rigore les miervonaires de la bourgléoisie tchèque et de l'impérialisme serbe, » Un autre commissaire de la guerre, Gy'laume Bôhm, commettait cette indiscrétion : _ «Je puis vous dire que dans tout Le pays, des camarades s'inscrivent par milliers ‘et diairés de inflliets dans l'armée rouge L £ 1 Ë »: à æt déclarent qu'ils défend'ont la révo'uton, la république des Sovies ct qu'ils EL Ébèreront leuns frères subjugués >. _ (Ces confidences des chefs bolchévistes É font toute la lumière sur leurs buts et . jeur plan. Conformément à la tact'que prévonisée par Liébknetht et contseil'ée par - Lériné. ils sont tranquilles pour le mo_ ment. Ce calme intérieur leur cst nécésc saire pour consolider leur pouvoir et, en - preuier lieu, pour former une forte armée rouge, à l’aide de laquelle ils veulent « déLivret leurs frères subjugués ». Mais, simultanémeut, ils entreprenmert une agitatioi » gffrénée dans les territoires occupés et, » jaïsant miroïiter aux yeux du peuple et des soldats d'occifpat'on les p'us absurdes = promesses, ils s'efforcent de provoquèr Ja _ révolution de laqueile eux seu comptent > tirer profil. | Gette situation es' absolumfent intolérable et les Quatre qui s'èägent À Paris doivent _ prononcer leur verdict. Oui où non, agirat-on, où laïssera-t-on l’enniinf, couvert d'un vêtement nouveau, recommencer la gu2rie et détruire le succès obtenu au prix des _ sacrifices inouïs des peuples? |

-Le temps presse. P,

à La menace Dugare et les Italiens

dj: ï

Les dépêches de Belgrade annonceni que, au lieu de démbbiliser, les Bulgares ont ordonné une mobilisation partielle et qu'is N front'êre. _ (Geile nouvelle parait invraisemb'able à - première vue. Comment, se demandera_ ton, la Bulgarie serait-clle en mesure dé _ mobiliser, alors que les autorités alliées

F sont loujours à Sofia? On répondra à celte _ question par l’exemiple magyar. A Budapest aussi, il y avait des autorités alliées,

_ ce qui n’a pas émipêché pourtant les Ma-

Lu j P

_ massent des troupes à notre

. gyars de faire la politique qui leur semblait bonne el salutaire, et contraire aux intéL mêts des Alltés. À l'exemiple des Magyars, . les Bulgares paraissent préparer également . sous les veux viglants ou. s'ils ne sont pas - vigilants, aveuglés de nos alliés, quelque _ coup pour lequel äis 8e croient d'ores et _ déjà assurés dé l'impunité. Un essai qui » peut réussir n’est jamais à dédaïgnér.

ne Les indices prouvent même qu'il s'agit

nr

… dun bouleversement bolchéviste à la ma_ nire magyare. Dans le trouble général qu embraserait le monde-entier, 1: Buigares espèrent, comime leurs frères madyars. se décharger de leurs dettes et arrondir même leurs «frontières natioS nâles ÿ. | È Les avant-gardes de toute al'aque bul| gare, les comitadjis, dont l'activité est diri. ge par le ministre des affaires étrangères É et qui sont, pourtant, présentés comme _ des éléments irresponsables, font déjà des icruptions sur nos territoires, semant da

front, icéndiant en même temps 5e dépôts dant, I colonne d'atlaque s'empare à 21 h.

_ Kicu des batieries de campagne et «des 0 _ journée le gros de la droite de cette division

h bote 1250 et ses avant-gardes se trouvent Sur _ Woù ellés tiennent sous le feu _ Hrailleuses et de leurs fus'ls la na pu étre pris dans la joymnée. U

E st dirigé sur la hauteur à l'est pour facilite * 6 prise dans la nuil. L réçoil pour

La division de la Drina n _ L poursuite en direction de Raklje, Popadija, a division de la Morava en direclion OU Gi le, Cicevo, pour atteindre | ee È rmera la réserve d'armée ct marchera en : _ la guche ae l'armée. J Bien que l'ennemi ait brûlé ses Marche de la ire armée, on € 8 _ Mdlquesuns en bon état, L'ennemi procède » Gipilalion à la destruction des ; … hôpial où 100 hommes furent Balades où Les bêtes périrent.

…_ L'onnemi fléchit de plus en plus devant no5

=. lient les éléments allemands dont

… © malériel, un butin encore plus Com Mains €l les troupes bulgares

-Vamage, Pour enrayer notre Avance,

min à ses détachements pour occuper la hauteur à l'est de Carë. wii: Vers 10 h. 40, on rémiarque r@5 mouvements désordoin‘s aux ._ miirons de Carévik. IL occupe les hauleurs à l'ouesi de cc vil__ lago ét à l'est de Smolani. L'escadron ‘divisionmrire à ce moment el au nord de Dren. L'ennemi résisie tous la journ$e sur Cë à Trojaci. Cepenide la baufeur à | d'est de Carévik et continue la poursuite ve: Toplice ct Rekije. S'élant emparée de Dunje, la division du ‘Danube poursuit Son aflaque de la Drenska et atieint en combattant, te 1250, Landis qué sa gauche se rapproché de Beli-Kamen_sous. obus'ers. En fin de prend pl sur le versant nord, de leur artillerie, de let's mirouto de Trojäci. Le Beli-Kamen n bataillon de la réserve y V'attaque. Ta crète

mission de continuer Voinice et Vélès, 1 de Debriste, Ds: é Varder: La \divs'on du Danube échelons derrière

dépôts dans la direction de arrivé pourtant avec dépôts qu'il a mis le feu à un brûlés et à un dépôt Ces renseignements nous

D r les habi : des villages avoisinants. i fs par les habitant: des ag SE : la mission est de : sidérable serait tombé, gntre serdient désrsrésé l'ennemi arr ve

terreur et présentant leurs. dévastatio & d ÿ'x : D S ns cornine dés « soulèvements nationaux ÿ. Cet état de choses, auquel il faut a Fa ACT 1 à LR ELA STI ï h \ cherché un romède, est grave. RAR Ra

dont les représentants s'ègent à Sofia, sont

responsables de tous les malheurs qui peuvent surgr. C'est à eux qu'incombs, la t4che d'éliminer le danger et surtout de prendre garde que la faute commise km 1915 ne $é répèle pas. Surtout qué les Alliés ne ‘croient pas de nouveau, le en 1915. que les Bulgares mobilisent contre les Tures et les Allemands! "=

L'hésitation et le manque de coordinaion qui caractérisent les actions de nos alliés facilitent énormément les louches machinations de nos enñéinis. Malheureusement, partout, nous rencontrons l'Italie où quelque chose d’host'le se trame contre nous. Au milieu de l'entente des Allés, l'Italie apporte tune note de discorde, en cet qu'elle est toujours prête à favoriser

nos ennemis L'idée de M. Orlando que |

l'on ne peut discuter avec un enmenn, En l'occurrence notre peuple, se retrouve sur toute la ligne de la poitique italienne. Après le Monténégro, la Croatie, l'Albanie, la Roumianñie, c'est maïintenamt la Bulgarie que nos alliés italiens onf choisi pour champ d'action. Le chef de la mission italieune est souvent em conversation ayec le roi Boris, des sociétés de commerce italobulgares se fondent, et c’est certainemient sous l'influence des Italiens queæle blocus contre la Bulgarie a été levé plus tôt que celui contre nous. Tout cela prouve de façon éclatante l'hostilité italienne qui, malheureusemient, vient de 65 manifester, sous une formé pire encore. Les Italiens, em effet, prêtent une aïde efficace aux préparatifs bulgares. I1 est avéré que les autorités militaires ifaliennes en Bugarie et ea Macédoine accordent toutes fac:Ltés au mouvement des bandes bulgares, leur proeurent les papiers nécessaires, les armint, les ravitaillent et les transportent par leurs mioyens de transport à proximité de nos frontières.

L'un de nos alliés fait donc une guerre saurnoïse d’excitation et d'agtation entre nous. Nous ne pouvons plus nous borner à exprimer notre indignation de ces mir nées. Les politiciens d'Italie, imbus de l'esprit de la Realpolitik. ne se soucient guère de notre indignation. Cette fois-ci,

sements, qui ne servent em rien ni les Alliés ni les Italiens, mais qui facilitent l'œuvre destructrice de nos ennemis. Cette Conférence de Parts, où il fut dit {ant de belles choses sur le droït des gens, VOudra-te'le bien jeter un regard sur ce qui se prépare contre nous? Ou devrons-nous poser la question: Sommes-nous les amis ou les ennemf$ de nos alliés ?

Syrmicus. 0 00

Vu les fêles de Pâques, le présent numéro n'a pu paratire que le 24 au lieu du 21 avril.

Nous prions nos lecieurs d'en prendre connais-

LA RÉDACTION TE a ————_—————

sance.

irouvaient déjà sur le front 2me armée, de nouvelles unit Front das armées alliées. à AA Pi Sur notre gauche, I 1imé cani, l'ennemi 8e maintien! ouest de Monastir. Sur le res sance. : :

2me armée.

et ses palrouilles envoyées heurtent à de cavalerie sont el

La äroile de la division you sommet le plus élevé de la lig

sorver l'ennemi, continue vers extréme-gauche, faillon, 6 mitrailleuses rapprochent à 1500 m.

À 17 h. 80, la l'Orle-Baïr ke! nord «en désordre.

à en, prendre tant de pré

is chevaux ont 665

e détruire tout |f

gardes és encore encore

nous devons protester contre de tels ags-

à mettro er ligne quelques nouvealix réginunis, meis ces unllés sorient au combat toujours désorganis ‘es. . :

Dans la journée du 22 septembre, d'après les déclarations des prisonnier, le 8e régiment bulgare a pris par! aux combats sur lo fron. de la division du Danube avec les autres unités qui $e de la re armée. En face da la és n'ont pas été constatées.

__ A droile des armées serb:s, les trovo, Kovanec, Pardovica. Plus village de Bogdaci et de Doiran. D. IL. € se lrouve nux environs dé ôkre “aliens et les troupes de l'A. F ©. entrent à Toploee: taie Bujois à la cole 1248, au nordte du front, activité d'artillerie crois

troupes voisines on! occcupé Pé à l'est, les Anglais s'emparent au

23 septembre 1918. _— A 16 h. la situation est la suivante: La division du Timok occupe, avec sa gauche, le Kiriz-Tepe vers É à un feu intense dirigé dé ce point. Nos patrouilles rées en linison avec les Uoupes 11 i rovo. Elles doivent atteindre Hudovoi dans la journée. | ro ugoslavé s'est rapprochée à 100 m du ne dé crêles de Kara-Hodzali. Le a avant laissé un détachément Sur le Kurjacki Vis, pour obpes Toptik sans le rencontrer; à l'aile celui-ci lient la ligne et ‘une ou deux batleries. Nos éléments p'en

droite prend la crête de Kara-Hodzali el de continue sur Soba. vers ] Les éléments mis en marche Fe _—

| arrêtés par un feu nourri d'infanterie. La gauche nt a nr ja pente à michemän du Hazi-Hamzali et les avantde l'extréme-gauche passent là voie ferrée à Gradsko ei S'y retranchent, tandis que l'énnemi 5e rl're derrière le smmpg do la coïe 220 (Kolac el la coc 260).

Une méclification de « Là GamoOUprayà »

La « Samboouprava », organe qu miuis(re-

président M. Protitch, publie dans son mu-

méro du 21 mars une rectification au sujet des correspondances sur nos problèmes intéridurs et extérieurs de M. Charles Rivet, l'envoyé spécial du «Temps». La « Samoouprava » contate que les explications de M. Rivet sur nos affaires intérigures sont très arbitraires et dans certains. cas absolumient inexactes. Le journal belgradoïs ajoute qu'il lui semble fort douteux que M. Drachkovitch ait pu élever dés accusations aussi injustifiées contre M. Pachitch. Si cela était vrai, cependant, l'organe de M. Protitch déclare 8e réserver le droit d'y revénir prochainement.

En ce qui concerne motre politique exténieure, la « Samioouprava » publie in extenso, en français, les déclarations faites par M. Protitch à M. Rivet. M. Rivet avait

ait hertrois passages importants que nous reproduisons ici, pour comiplétèr l'information de M. Rivet parue dans lë « Temips » du 15 mars. Ces passages sont les suivants: ‘ :« Dans le Banat, a déclaré M: Protitch, nous réclamions, conformément aux principes exposés, et forts de notre droit, la frontière qui irait quelque peu à l’est da là voie ferrée Béla Tzrkva, Vrehatz, Témichvare, Arad, et au nord, la rivière de Moriche. Les prétentions des Roumains sur le Banat sont sans aucun) fondement, Les Serbes se sont établis dans le Banat plus tôt que les Roumhins; ils y possèdent six évêchés et onze monastères, fandis que les Roumains n’ont rien de tout cela.’ Le Banat faisait partie du ‘Duché Serbe, Connu sous le nom de Voivodina, que les Serbes ont arraché en 1849 À la couronne d'Autriche et qui a subsisté pnze aps.

Dans le 18e æt le 1% siècle, Vienne, seule d'abord, ensuite avec les Magyars, a cherché à refoulér les Serbes du Banat gt l’a fait coloniser par des Allemands, des Hongro's et même par des Roumains. Malgré tout, le Banat a conseivé dans les frontières que nous venons d'indiquer, le caractère et le type serbes. Jie mfabsGens de dire aucun mot de la Transylvanie, que les Roumains ont aujourd'hui déjà, suivant l’exembple ilalien, annexé par dé-

éret, et pa laquelle ils cherchent à arri- |

ver dan$ le Banat serbe. Je nyabsliens aussi de parler de la Bessarabie, que les Roumains ont également annexée. La question du Banat est pour nous d’une importance capitale et nous espérons ferimiement que nos droits sur ce pays ne Sauraent être amioindris par des traités se-

creis. : *

« D'après ce que je viens d'exposer, vous avez ma réponse à votre deuxième Juestion. Ces questions, une fois, sérieusement posées et établies sur des bases solides, il ne peut pas y avoir lieu à des marchandages el, par cela même, à maximum et À mhinimum. Quand on réclame le miniiüm, Gil est naturel de supposer qu'on delhande quelque chose que lon peut abandonner et que la damande n'a pas) de bases solides. Ce n’est pas notre cas. Nous

slaves.

À f

plik, pour conto

{

demandons uniquement ce qui nous appartient et qe nous ne pouvons pas ne pas

«Jusqu'à présent nous n'avons pas eu de différends sérieux ni avec les Rou-

EEE

mains, ni avec les Grecs, et malgré Patti-

tude de la Grèce et de la Roumanie pendant cette guerre, altitude qui aurait pu susciter ags plaintes justifiées de notre part, l'idée de relations plus intimes avec le. uns aussi bien qu'avec les autres nous est très sympathique. Car, il y a un point dui ne laisse aucun doute: si la Roumanie. et la Grèce Kétaient mises du côté de la Serbie au commencement même de cette guerre en vue de défendré toutes trois leur œuvre commune, le traité e Bucarest €t la paix balkanique basée sur ce traité, la aurée de cette guerre auraït cértainemkênt été abrégée, ct le second trailé de Bucarest n'aurait pas été signé! Foutelois, je dois vous Le dire, nos futures relations avec les Roumiains dépéndront beaucoup de l'attitude que la Roumianie adop-

fera. dans la question du Banat: »

L'Italie intrigue au Monténégro

Sous lé titre «L'intrigue balkanique a maintenant son foyer au Monténégro, on dit tout bas que l'or italien a 66 là principale = de la dernière révolie », M. Thomas Stewart Ryan, Correspondant spécial du «Chicago Tr'bune », envoie de Cettigné À son journal, en date du 80 mars, jes informations suivantes sur les évéme ments qui se sont déroulés dern'èrement au Monténégro, informalions puisées à la source même.

Aussitôt que les Autrichiens eurent évacué Je pays, le part libéral déposséda le roï.et se déclara pour la Yougoslavie. Le mouvément de méconfentement contre l'ex-roi Nicolas est à tel point général que le frère luimême de la reine dé: trônée, Voukotitch, ss frouve à la tête du gou vernernent provisoire. « Les liens du sang à aéclaré M. Voukotitch au général Franchel d'Esperrey — ne gignifrent rien à côlé des convictions. » ro

Cependant, tandis que le gouvernement consoliaait la situation du pays et 5e préparait aux élections des délégués pour l'assemblée yougoslave de Belgrade, des influences hos'iles se mirent à l'œuvre. « I] est permis maintenant écrit M. Ryan — de dire que Je pari du roi comptait sur un allié de l’autre côté .de l'Adriatique. Ouire le lien sentimental, par la fille de Nicolas, la reine d'ltake, Rome avail tout in.

.térêt À faire revenir le roi <antiserbe»:; l'Ita-

he comptait, en effet, par la création, d'un Monténégro 6gro aulonome, « enfoncer un coin dangereu ons le nouvel Etat slave. pa LA JL SREERUE ‘ L'Italie et l'exroi Nicolas envoyèrent done Plamenatz, ministre sous l'ancism, régime et grand ami de l'Autriche, avec Ja mission de soulever le pays en répanidant « l'or italien et de belles paroles du mir, ee

La révolte échoua pileusement, grâce à l'op. position. énergique de la populalion. Plamenaiz s'enfuit à Scutari. Beaucoup de ses partisans réus. Sirent à passer à Catlaro, « où fe furent revétus d'uniformes lialiens ou placés dans Jes hôPitaux ilaliens ». Pendant que la révolte bat lait son plein, un détachement italien était parti d'Antivari pour pénélrer dans le pays, mais il fut obligé de rebrousser chemin,

ERRATUM

Il s’est glissé, dans notre comple-rendu du livre de M. Georgévitch'sur la Macédoine, une erreur typographique qui dénature le sens de la première phrase. Nous ne voulions pas dire que la question Mmacédonienné n'existe que depuis 1913, mais bien qu'elle n'éxiste plus depuis 1913.

FT À

La aivision de cavalerie à pris part avec une brigade À J'ats faque de Kara-Hodzali. A 10 h, un régiment dé éavalerie el uno baticrié de môntagne soit envoyés par Hadz-Harizali À Tôurnér Soba et faciliter l'atlaque dés trôuipes yougo-

La 17me D. I. C est en marche vers la ligne Kolak (cote 220). monaslère Cicevo et la division Choumadia se dirige sur la région Tremik-Przdevo. 1

(A suivre). |

LA QUESTION YOUGOSLAVE. La monarchie danubienne (1878-1898). — La queslion serbe ei les origines de la qüérre:

1878-1914. — Vue générale sur la question yougoslave. — La

le BelikKamen (cote 1170) se

françaises

Kolac-Cicevo avec uni ba-

question yougoslave depuis le Congrès de Berlin. — La question yougoslave et l'Europe nouvelle : 1914-1918, par Jules Dunem, 1 vol. in-16, de la Bibliothèque d'Histoire contemporaine, 4fr. 50. (Librairie Félix Alcan, Paris).

L'ouvrage comporte grandes études qui ont déjà é&ié publiées séparément: la dernière a paru dans là « Revue de Paris » du 15 juin 1918. Mais l'ensemble a 6té mis au point conformément aux témoignages el aux faits nouveaux.

Agrès avoin rassemblé les fondements elhnographiques, géogra. phiques et historiques de la question yougoslave, l'auleur étudie son évolution. depuis le congrès européen de 1875. IL examine La politique slave de Berlin et de Vienne et spécialement cæ! anti-

slavisme intégral qui était le testament poliique d'Andrassy, qui

L'ienmemi se retire vers le

fut suivi par ses successeurs, Goluchowski, Achrenthal, Berchtold, Tisza, avéc des variantes personnelles, qui S'affirma enfin sans correctifs ni mesure jusqu'à la guerre. Cette invostgilion Con duit au règlement de la question yougoslive. |

ED AR ' = —

Société Genevoise d'Editions et d'Impressions. — Genève