Zenit

ЭЙФЕЛЕВА БАШНЯ.

Балентинъ Паркахъ

Парижъ

Пресс гидравлический в ночы М'Ьдно-бетоной 800 тоннъ 16 рычагов орудуют!) колонноу И ребръ уклонь Скрешенья, скрежеты и скребъ Тормазовъ, стержней, скрlигь, стропилъ СкрТшъ прутьевъ, скобъ, рЬшетокъ, ребръ. Шмилъ, рТ-зъ и грнзъ когтей и пзлъ. Опора и вт,си вызжатъ 4 пресса Двнжепьъ выверенных'!. м'Ьръ Грузъ разрешается в давлен i и отвеса 3 1/ 2 атмосферъ Против напора неуклюжа го Режь профилем?» колюч рыжимъ! Железо Кружево! Кружи Изобретателей мозгт, надо Парижем!.! Станъ элегантной худобы! Бить наконечникоыъ удалымъ. Стоять отточеллымъ шандаломъ. Железный хоботъ на дыбы! Нзъ. Внутри». Царапалт,. Кранъ. Взыграв'ь. Стонь. Радио. Блока,. Болть. Шарле. Безпроволочный телеграфа,. Анемометра,. Сверлить. Пролегло. Мужской, какъ Библlя. Разный. Метеора Пролlтъ сквозь ошалелой слухъ. Вот тело хрупкое пророка и танцора. Вместившее огромный духа.!

AMOUR DE SESSUE

Jean Epstein

Paris

Etrangers, serait déjà un sacrilège si nous comprenions bien cet honneur enveloppé de soies, Aux honorables films qui sousentendent les baisers que comprenons-nous, et, danseuse, â votre attente dans la maison de thé, cinq ans fidèle à la carte postale de Votre fiancé qui fait, dornest ique, des économies inouïes à Frisco? Douceur des paroles ď honneur et des politesses authentiques dépaysées à New-York. Les jeunes filles se mettent à genoux pour lire, verticalement et de droite à gauche, les grands malheurs que les paquebots importent à travers le Pacifique. Là - bas on plante sa vie dans du mépris blanc et parfois on a la petit doigt. Etudiant, il s’agit ď apprendre la médicine sans oublier les dieux ancêtres, ni perdre, parce que nous prononçons suicide, ni perdre le courage de faire hara-kiri après avoir allumé les bougies et étendu soigneusement les nattes. Dévoué à tant de conscience, luimême poignardé s’il échoue, pouvons nous compendre sa vengeance? Ceci est hors de nous, et cornélien, si cornélien n’ était pas un adjectif réservé au baccalauréat. Scssue Hayakwa, le Japonais si long temps de Forfaiture, vit encore seul ce qu'il devrait être. Cet excès de probité nous étonne, charitables, jemenfoutistes et qui nous amusons si bien. Son orgueil d’un style pur et d'un grand pedigree. Vise au-delà de nous, une poésie que nous ne sommes plus, sans lui, capables d'avoir. Contre ce Visage, s'il s’agit de comparaisons, les autres acteurs, sauf peut-être Naziraova, ne luttent pas à armes égales. Eux partent de rien, lui d'un repos, qui déjà est sur sa parole s ajoute à l'écroulement d une immobilité par elle-même expressive. Tragique, comme symétrique est le cristal de neige par nature, ce calme cède au dégel d'un sentiment qui est alors surprise, excès et soulagement dans l' attente, printemps au milieu des glaces. Il n’a pas encore joué, déjà on le tient quitte et grand acteur. Avec cette expression spontanée valable en blanc pour des crédits illimi-tés de tristesse il surgit entre des comparses que balaie soudain sa silhouette violente

et désolée, El lorsqu’il joue, le juste nécessaire et suffisant du sentiment qu'il exprime, se réfléchit dans ce tragique naturel et acquiert ainsi une étonnante perspective àricochets, II appelle la jeune fille et lui donne avant de partir le dieu mort d’amour, en souvenir. Il étend la main, entre elle et lui, à michcmin, et la reprend, ayant déchiré, doigts fléchis, leur entière séparation. Ce qu’on laisse. Ce qu'on emporte, il ferme une porte. Dans le jardin, pourtant la pelouse est entre nous, à toute force, il écoute une voix, mais pas une seule de ses paroles. Quand elle s'arrêtera, pour lui tout sera fini. Le gros plan s’allume et nous interroge. C’est alors que tombe sur la salle considérée, une persuasion prodigieuse. Au-delà de l'intrigue du scénario, l’écran répercute violemment une immense fortune de violents désirs et de continuelles inquiétudes. Odeur de photogénie, comme odeur de sainteté. Personnalité poétique. Cela n' est ni compréhensible, ni raisonnable; Sympathie. FABRIKA LOKOTA

Dragan Aleksić

Zagreb

trokut srče silabc kreštanja pojesti sive berze traverze šepaju kaguar erni trikata tri kata visokd stroj perspektivě hotahatarí hotahatari bayrum sat sajđžije sajdžiji kremen šita přesila ulica pesrae čipaka ustanovljuje se bezmesna sreda pokret taraba gospode načeonika paroksizam jatagana krajnji celibát hotahatarí hotahatari ritahameteja ritahameteja tísućdvanaest sajmova ponosni toranj ptica gore postavili osamsto tona hidroplan desno akatsuki desno akatsuki akatsuki hojataharita hojataharita brahijum desne lopatice sinus devetog neba akatsuki akatsuki iíi iii

V BIOGRAFU

Artuš Černik

Brno

Marné vyprávění dějů, které Ihou, prostorná komnata a odména chudé, město a nádraží za horousedmerou věsí se na sebe, désí hlavičku, jež zulíbána bude na silnici, až nikdo nepůjde kolem, až až ti ze zraku spadne záklona důvěřivosti. Milenci jsou si ve filmu podobní, od země k zemi malý krůček jen a láska nezalévaná hyne opuštěnosti boleni, roezhod a trpkost jsou plody pomíjivosti a co vidíš, není než skutečný zhuštěný den, kříž nad světem a letmé vzpomínky pohrobní. Radí se radost k slzám a k rozkvetlému stromu černý flór. A přece jak klamné tu na plátně život teče. Říkej sí jenom, pásmo bílešedé: Já zpívám

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