Étude historique et biographique sur Théroigne de Méricourt

VII

L'Hôtel-Dieu. — Les Petites-Maisons. — La Salpêtrière. Esquirol. — Mort de Théroïigne (1817).

Bientôt Théroïigne passa de la maison de santé du faubourg Saint-Marceau à l’Hôtel-Dieu, où Pierre Villiers la visita en 1797. Elle était toujours en proie à une violente exaltation, parlant sans cesse de République, de nivellement, de liberté. Les documents relatifs à la dernière période de la vie de la belle Liègeoïise sont rares. M. AIfred Maury, avec son habituelle obligeance, a ordonné pour nous aux Archives nationales des recherches restées sans résultat. Les archives de

1. Souvenirs d’un déporté, et papiers inédits de Pierre Villiers, communiqués par M. Georges Escande, député de la Dordogne.

15