Le progrès des arts dans la République : poème : précédé d'un discours sur le même sujet : suivi d'un autre poème intitulé Dieu et les Saints; de quelques vers sur les victoires de Buonaparté; des Doléances du Pape et de nouveaux Hymnes civiques
PEN :N#0 ‘I DU POÈME PRÉCÉDENT,
AU CITOYEN MERLIN,
MA NT SER EE, D Æ TA CUS TL NC E:
NES
Yous êtes l’enchanteur dont les douces paroles ÆEmbellissant mes vers un tant soit peu frivoles , Sur leurs nombreux (1) défauts ont fasciné les yeux ;, Grace à vous, mon jargon est la Jangue des Dieux, Aussi gauche , entre nous , que le bon la Fontaine ; Quoique républicain j'ai besoin d’un Mecène,
Vous m'en avés servi : du progrès des Neuf Sœurs, Instruisés chaque jour nos Sages directeurs,
Que par vous étouffant l'ignorance et le vice,
Ts tendent au Parnasse une main protectrice ; Qu'ils redonnent aux arts une noble ferté :
Aux rives'de la Seine avec la liberté ;
Les arts vont refleurir , mais tels que les abeïlles
4] leur faut un asyle et l’ombrage des treilles ;
Par Auguste jadis Virgile fut renté ,
Virgile à jeun , peut-être ettassés mal chanté.
Où sont-ils les auteurs, mesdirés-vous peut-être ; Que le siècle d’Auguste autrefois a vus naître, Et qui renouvellés au siècle de Louis Ont tenu silong-temps les regards éblouis ?
Lg
(:) Merlin a fait plus que de parler de mon poëme sur le Calendrier républicain, il Valu, effort peu commun, sur-tout
quand on est Ministre , et en a fait au directoire, de vive voix et par écrit, le rapport'le plus favorable,